Professeur.e.s 2016/2017

Khaoula Taleb Ibrahimi : professeure des universités à l’Université d’Alger 2. Directrice de LISODIL  (Laboratoire de Linguistique, Sociolinguistique et Didactique des Langues). Spécialiste en Sciences du langage. Travaille depuis des années sur la question des langues en Algérie. Elle est l’auteur de « A propos de ‘L’école algérienne d’Ibn Badis à Pavlov de M Boudalia-Greffou”. Réflexions sur les pratiques didactiques de l’enseignement de la langue arabe dans le système éducatif algérien’ », Naqd, n° 5, 1993, ISSN 1111-4371, Les Algériens et leur(s) langue(s), Eléments pour une approche sociolinguistique de la société algérienne, Dar El Hikma, Alger, 1995, ISBN 9961 906 00 4, réédité en 1997, « L’arabisation: lieu de conflits multiples » in Monde Arabe/Maghreb-Machreq, Octobre Décembre 1995, ISSN 1241-5294, paru également dans Réflexions, n°1, 1997, Casbah Editions, Alger, « Passions, tabous et malentendus ; Un point de vue algérien » in L’école au Maghreb, dossier des Cahiers pédagogiques, n° 458, décembre 2007, Paris et « Enseignement de la langue arabe, méthodes, réformes et formation des maîtres en Algérie : état des lieux » in Le centenaire de l’agrégation d’arabe, Les Actes de la DGESCO, CRDP, Versailles, 2008.

Mériem Zeharaoui : docteur en Sciences des textes littéraires, elle est Maitre de conférences au département de Français à Blida 2. Enseignante de littérature, son champ de recherche concerne toutes les littératures francophones, particulièrement les littératures africaines. De l’écriture féminine à la poétique exilique en passant par le théâtre, son parcours scientifique est jalonné de collaborations à des ouvrages collectifs et à des dictionnaires portant sur des écrivains qui appartiennent à différentes sphères francophones tels que : Daniel Biyaoula, Tahar Djaout, Malika Mokeddem…

Stéphanie Guédon :

Mourad Yelles : a enseigné les littératures françaises et francophones à l’université d’Alger. Il a déjà publié Le Hawfi. Poésie féminine et tradition orale au Maghreb (Alger, OPU, 1990) et Les Miroirs de Janus. Littératures orales et écritures postcoloniales (Alger, OPU 2002), Les Fantômes de l’identité. Histoire culturelle et imaginaires algériens (Alger, ANEP, 2004) ainsi que de nombreuses études en anthropologie culturelle et en littérature comparée. Il enseigne actuellement à l’INALCO et à l’université Paris VIII.

Hocine Labdelaoui :

Adriana Lassel : ancienne professeure au Département d’Espagnol de l’Université d’Alger. Son premier diplôme, Professeur de Castillan (langue et littératures) est obtenu à l’Université de Santiago-du Chili. Suivent le DES d’Espagnol à l’Université d’Alger puis le Doctorat en 3è. Cycle d’Études Latino-américaines à La Sorbonne, à Paris. Écrivaine, Adriana Lassel écrit des études littéraires, des nouvelles et des romans, dont « Lucas, le Morisque ou le destin d’un manuscrit retrouvé » aux Éditions du Tell, Blida 2005.

Mustapha Chérif : professeur des Universités, philosophe et islamologue. Il centre ses travaux sur le rapport islam-Occident et le concept du juste milieu. Il est Docteur d’État ès lettres en philosophie et docteur en sociologie. A été fondateur de l’Université de la Formation Continue, ancien Ministre de l’enseignement Supérieur et Ambassadeur. Il a cofondé le Groupe d’Amitié Islamo-Chrétienne en France et le Forum mondial islamo-catholique à Rome. Il a été reçu par les papes Jean-Paul II, Benoît XVI et François. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages notamment Islam-Occident, dialogue avec Jacques Derrida, édition Odile Jacob, Paris 2006, Orient-Occident, Un précurseur Jacques Berque, éditions Anep, 2003, Sortir des extrêmes, éditions Points sur les i, Paris 2015 et éditions La Casbah, Alger, 2015, et l’Émir Abdelkader apôtre de la fraternité, édition Odile Jacob, Paris 2016 et éditions La Casbah, Alger 2016. Il est Lauréat du prix UNESCO du dialogue des cultures et du prix italien de la culture de la paix. Le Centre Stratégique Royal d’Amman, le distingue parmi les 500 intellectuels musulmans les plus influents dans le monde dans le domaine de la culture et de l’éducation.

Sylvia Chiffoleau : historienne, chercheur au CNRS, membre du Laboratoire de recherche historique Rhône Alpes de Lyon. Elle a été précédemment en poste dans des centres de recherche français à l’étranger : en Égypte au CEDEJ, de 1990 à 1993, à l’Institut français du Proche-Orient (Ifpo), à Damas de 2002 à 2006 puis à Beyrouth de 2010 à 2013. Elle consacre ses travaux à l’histoire sociale du Moyen-Orient contemporain (XIXe-XXe siècles) et enseigne l’histoire du monde arabe à l’Institut d’Études politiques de Lyon. Après avoir longtemps travaillé sur les questions de santé, ce qui a donné lieu à de nombreux articles et à deux ouvrages (Médecine et médecins en Égypte. Construction d’une identité professionnelle et projet médical, l’Harmattan, 1997 et Genèse de la santé publique internationale. De la peste d’Orient à l’OMS, PUR, 2012). Elle a orienté ses recherches vers la question des pèlerinages dans le monde arabe (ouvrage collectif sorti en 2005, Les pèlerinages au Maghreb et au Moyen-Orient. Espaces publics, espaces du public – accessible en ligne) et plus particulièrement sur le pèlerinage à La Mecque à l’époque coloniale (Le voyage à La Mecque. Un pèlerinage mondial en terre d’Islam, Belin, 2015). Plus récemment, elle s’est tournée vers l’histoire du temps, de ses conceptions et de sa mesure dans le monde arabe.

Karima Aït Yahia : Maître de conférences au département d’Espagnol à l’université d’Alger 2. Membre du laboratoire de recherche en traduction et terminologie (université d’Alger 2).

Berkahoum Ferhati :

Karim Khaled : docteur en Sociologie de l’université de Paris 8, HDR de l’universite d’Alger, Maître de recherches permanent au CREAD et responsable d’équipe « Politiques d’éducation et de formation en Algérie ». Travaillant depuis 1998 au CREAD sur la problématique de la gouvernance de l’université algérienne et depuis 2006 à nos jours sur la fuite des cerveaux algériens. Les publications portent essentiellement sur les élites intellectuelles algériennes nationales et diasporiques.  http://www.cread.dz/index.php/cv-khaled-karim.html

Anissa Yelles :

Faïka Medjahed : a été responsable du service « Santé femmes » à l’Institut National de Santé Publique d’Alger où elle a coordonné la première enquête algérienne sur « Les violences à l’égard des femmes », elle a coorganisé à Alger des colloques internationaux sur « Les folies au féminin », elle a participé à la mise en place de « Séminaires de psychanalyse » à Alger, et après 15 années d’une cure analytique elle s’est installée comme psychanalyste, aujourd’hui elle est secrétaire des séminaires de psychanalyse de Nour au CHU B.E.O et participe régulièrement aux séminaires d’Heitor de Macedo à Paris et aux stages de psychothérapie institutionnelle et les rencontres de la Criée qu’organise Patrick Chemla à Reims.

Heitor De Macedo : a été metteur en scène au Brésil avant d’exercer en France, comme psychanalyste, dans des établissements de santé mentale. Disciple de Françoise Dolto et Gisela Pankow, il a enseigné à Université de Paris VII. Président de la Fondation franco-latino-américaine Rocinante, il a organisé en 1986 la célèbre rencontre entre des psychanalystes français et des psychanalystes latino-américains ayant travaillé pendant la période de la terreur d’État. Ancien Analyste-Membre du CFRP et du IV Groupe, il assure actuellement son séminaire bimensuel à La Fédération des Ateliers de Psychanalyse. Collaborateur régulier du journal en ligne MEDIAPART, il est l’auteur, notamment de Ana K., histoire d’une analyse (Gauthier-Villars, 1977), Le Psychanalyste sous la terreur (Matrice-Rocinante, 1988), De l’amour à la pensée – la psychanalyse, la création de l’enfant et D.W.Winnicott(L’Harmattan, 1999), Lettres à une jeune psychanalyste (Stock, 2008), Clinique de Dostoïevski, ou les enseignements de la folie (Éditions Cécile Défaut, 2015).

Mustapha Haddab : sociologue, professeur honoraire à l’Université d’Alger connu pour ses travaux sur l’éducation et les processus de socialisation dans l’Algérie contemporaine. Il a contribué aux conseils scientifiques et comités éditoriaux de différentes institutions de recherche et périodiques scientifiques. Il est l’auteur de plusieurs travaux sur l’éducation la formation et le rôle des élites et des cadres, et sur la question linguistique .Il a enseigné la philosophie à l’Université d’Alger de 1967 à 1972.

Kahina Bouanane :

Zineb Ali-Benali : Professeure émérite de l’université Paris 8. Spécialiste de Littératures dites francophones et théories postcoloniales, la question des subalternes et les écritures féminines et les questions de mémoire et de traces. Quelques publications du professure : Passages. Ecritures francophones, théories poscoloniales, numéro co-dirigé avec F. Simasotchi-Bronès et Mégevand, Littérature, N°154, juin 2009. Le Discours de l’essai de langue française en Algérie. Mises en crise et possibles devenirs (1834-1962), Villeneuve d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2000.Le corps met les voiles, en collaboration avec Claude Ber, Maïssa Bey, Dominique Le Boucher, Leïla Sebbar, WasylaTamzali, texte issu du colloque de Montpellier, 29 mars 2003, Editions du Chèvre-feuille étoilée, 2003. La balade des djinns, Alger, Editions Casbah, 2004. Les Révolutions arabes ne se conjuguent pas au féminin (29 juin 2015), (texte en ligne).

Afifa Bererhi : Professeure de littérature française et francophone (retraitée). Docteur honoris causa de l’université de Valencienne. Auteurs de nombreux articles et ouvrages collectifs. Membre de la CICLIM (1989-2000). Directrice du laboratoire de recherche ADISEM (1992-1995). Professeur invité à l’Université Stendhal-Grenoble (1995-1998) Chef du Dépt de français de l’université d’Alger (2003-2007)- Directrice de la revue « Réflexions et perspectives / Kalim » nouvelle version (2011-2014). Directrice de la collection « Auteurs d’hier et d’aujourd’hui » Éditions du Tell (2004-2010). Membre du conseil d’administration de l’Association Internationale des Etudes Québécoises (AIEQ ) (2005-2013). Membre de l’Association Les Amis des Glycines.

Djemaa Maazouzi : PH.D en Littératures de langue française, Djemaa Maazouzi est enseignante et chercheuse au Département de français de Dawson College (Montréal, Canada). Ses intérêts de recherche portent sur : la fabrication de la mémoire et de l’histoire (littérature, cinéma, web) ; le tissage des liens de solidarité entre porteurs de mémoires de traumatisme (guerre, génocide, etc.) dans les arts ; les questions de postcolonialisme et de subalternité des femmes ; les migrations et les déplacements des personnes et des biens. Spécialiste de la littérature française du XXe siècle et de littératures francophones (Maghreb notamment), elle a dirigé et co-dirigé plusieurs numéros de revues (Nouvelle Revue Synergies Canada, n°6, Revue Intermédialités n°21, Revue des Sciences Humaines n320) et publié des textes dans plusieurs ouvrages collectifs ainsi que dans des revues telles Études françaisesCinéma & CieThéorème, Médiation et information (MEI) ou encore La Revue des sciences sociales. Elle est l’auteure de l’ouvrage : Le Partage des mémoires. La guerre d’Algérie en littérature, au cinéma et sur le web, Paris, Classiques Garnier, 2015, 487 p.

Naïma Hadj Abderrahmane : Passionnée par la lecture des grands textes philosophiques avec ses étudiants à Alger et à Paris, Naïma HADJ ABDERRAHMANE est enseignante de philosophie à l’université Alger 2 Bouzaréah. Elle se focalise notamment sur la pensée occidentale antique (Platon et Aristote), contemporaine (Martin Heidegger) et la pensée arabe médiévale (Alkindî). Elle a participé à plusieurs congrès internationaux et a été directrice de EIS Magazine.

Houari Touati : a enseigné à l’université d’Oran jusqu’en 1995, est directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales de Paris et directeur de la revue internationale Studia Islamica. Il a par ailleurs été visiting professor aux Etats-Unis, dans les universités de Harvard, Ann Arbor (Michigan), Californie à Los Angeles (UCLA) et Princeton, au Canada, dans l’université de Toronto, en Europe, notamment dans les universités de Heidelberg et Leiden. L’an dernier, il était l’invité des universités de Pékin et Shanghai.    

عبد الرزاق بلعقروز: دكتور و أستاذ محاضر  في فلسفة القيم ونظريات الحقيقة وفلسفة الفعل بجامعة محمد لمين دباغين سطيف.2( الجزائر) . رئيس اللجنة العلمية لقسم الفلسفة حاليا  بعدما كان رئيس قسم الفلسفة بالجامعة نفسها. عضو المجلس العلمي لكلية العلوم الإنسانية و الإجتماعية

.رئيس تحرير مجلة نماء (مركز نماء للبحوث و الدراسات، بيروت). عضو مؤسس الجمعية الجزائرية للدراسات الفلسفية، ورئيس المكتب الولائي لها بسطيف

مسؤول فريق التكوين في الدكتوراه، فلسفة القيم وابستمولوجية العلوم الإنسانية بجامعة سطيف2. رئيس فرقة بحث حول الحداثة و انعكاساتها على منظومة القيم : رهانات التّجديد التّربوي (وزارة التعليم العالي و البحث العلمي الجزائرية). عضو هيئة التَّحرير لمجلة العلوم الاجتماعية بجامعة محمد لمين دباغين سطيف2. خبير دولي محكم في مجلات دولية : مجلة تبيُّن، مجلة العلوم الإجتماعية، مجلة إسلامية المعرفة

صدرت له مؤلفات منها : المعرفة و الارتياب (2013)، أزمة الحداثة ورهانات الخطاب الإسلامي (2012)،  قوة القداسة (2013)، مدخل      الفلسفة العامة (2015)،  مداخل مفهومية إلى مباحث فلسفية و فكرية، 2016 

Amina Bekkat: Professeure à l’Université de Blida 2. Doctorat de 3ème cycle (Sorbonne nouvelle ) Doctorat nouveau régime (Cergy Pontoise) consacrés tous les deux aux littératures d’Afrique. Publications, communications et ouvrages dans ce domaine, dont Regards sur les Littératures d’Afrique (OPU 2006, en cours de réédition) et Lire l’Afrique (Blida, éditions du Tell, 2009l ).Edward Said,(Chèvrefeuille étoilée,2006) entre autres.

Chérif Dris : Docteur en sciences politiques, enseignant-chercheur à l’Ecole Nationale Supérieure de Journalisme et des Sciences de L’Information (ENSJSI) d’Alger. Auteur d’une trentaine de publications (articles dans des revues internationales et algérienne, chapitres dans des ouvrages collectifs et études).

Saliha Zerrouki : est enseignante-chercheur, spécialiste de l’exil républicain espagnol en Algérie au département d’espagnol à la faculté des Langues Etrangères à l’université d’Alger 2. Elle a occupé différents poste tels que responsable de la filière LMD Langue, littérature et civilisation hispaniques 2010-2013, responsable de magister Langue et Littérature Hispaniques, présidente de la Commission de Tutorat de l’Université d’Alger 2, 2012-2014, responsable de Domaine LMD, 2013-2016, responsable du Doctorat LMD Littérature Espagnole et Hispano-américaine 2015-2016, responsable de l’Equipe de Recherche «L’Algérie et l’exil républicain espagnol de 1939», responsable de l’Equipe de Recherche « L’image de l’Algérie dans les écrits espagnols ». Elle est l’auteur de « Max Aub y el exilio republicano español en Argelia » prologue de Manuel Aznar Soler. ISBN 978.9961.0.1515.5 OPU Alger 10- 2011, « Max Aub et l’exil républicain espagnol en Algérie » Prologue de Manuel Aznar Soler. ISBN 978.9961.0.1536.OPU Alger 12-2011. Et de Plusieurs articles en Algérie, en Espagne  et au Mexique dans des revues spécialisées, sur Internet et sur des journaux nationaux.

Sarah Kouider Rabah : Maitre de conférences au département de français à l’université de Blida 2. Chercheure en Littératures francophones, ses travaux se consacrent à l’autobiographie francophone et à ses différentes digressions formelles, ainsi qu’aux multiples formes de représentation de l’Histoire.  A son actif, de nombreux articles scientifiques et plusieurs conférences et communications animées dans le cadre de colloques nationaux et internationaux, autour de la littérature francophone en général (Rosie Pinhas-Delpuech, Sorj Chalondon…), africaine en particulier (Rachid Boudjedra, Sami Tchak, Azza Filali…).

Mohamed Sari : Professeur à l’université d’Alger. Ecrivain bilingue, romancier, traducteur littéraire, a publié : En Français: Le labyrinthe (roman) (2000), Le naufrage (Nouvelles) 2010. En Arabe : Sur les montagnes du Dahra (1983), Essaïr (1986), La carte magique (1997à, El Waram (la tumeur) (2002), El Reith (2007), El Kilaâ Elmoutaakila (Les citadelles érodées) (2013). Traduit une vingtaine de romans du Français vers l’arabe d’écrivains algériens : Mohamed Dib, Malek Haddad, Boualem Sansal, Yasmina Khadra, Malika Mokaddem, Anouar Benmalek, Salim Bachi, Djamel Souidi, Hamid Skif, Maissa Bey, et les mémoires de Zohra Drif. A publié aussi des livres de critique littéraire (en Arabe) : A la recherche d’une nouvelle critique (1984), Les peines de l’écriture (2007), Littérature et société (2009), Sur le roman, essai d’analyse sémiotique (2009), Essais sur la pensée, la littérature et la critique (2013).

Nicolas Schaub : est docteur en histoire de l’art contemporain. Boursier (2016-2017) au Deutsches Forum fürKunstgeschichte(DFKParis), il travaille sur un projet post-doctorat intitulé : « L’illusion d’un territoire. La Société coloniale des artistes français et l’Afrique du Nord, 1907-1935 ». Il a notamment écrit dans le Dictionnaire des orientalistes de langue française (Karthala, 2008), L’Algérie et la France (Robert Laffont, 2009), et a contribué aux expositions « Algérie (1830-1962) » (musée de l’Armée, 2012), « Les Désastres de la guerre. 1800-2014 » (Louvre-Lens, 2014) et « Made in Algeria. Généalogie d’un territoire » (MuCEM, 2016).

Nacéra Benseddik : Historienne de l’Afrique antique, épigraphiste et archéologue. Membre du Comité Scientifique International de l’Association Internationale d’Epigraphie Grecque et Latine (AIEGL) et de la Société Française d’Archéologie Classique (SFAC) ainsi que du Conseil Scientifique de l’Africa Romana, Université de Sassari, elle est aussi membre correspondant de la Kommission für Alte Geschichte und Epigraphik des Deutschen Archäologischen Instituts (DAI Berlin). Pr Benseddik a assuré, de 1977 à 1981, la co-direction des fouilles algéro-britanniques du forum de Cherchel, puis, de 1983 à 1992, celle de l’Asklépieium de Lambaesis-Lambèse. Elle dirige actuellement deux projets de recherche : « Les inscriptions latines de Maurétanie Sitifienne » ; « Les sources archéologiques de l’histoire ancienne d’Alger ». Les travaux de Nacéra Benseddik sont téléchargeables ou visibles sur : http://independent.academia.edu/Nac%C3%A9raBenseddik

Ismet Touati : historien, spécialiste de l’Algérie à l’époque ottomane. Chercheur au Centre national de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH) et enseignant à l’université Abou Bekr Belkaid, de Tlemcen.

Amel Soltani : Docteur en Science de l’Antiquité de l’Université de Toulouse II (France), anciennement conservatrice en chef au Musée National des Antiquités d’Alger et actuellement Conservatrice en chef du Musée National Cirta de Constantine. Spécialiste des monnayages préromains de l’Afrique antique, elle est membre du projet algéro-français « Catalogue des inscriptions latines de la Maurétanie sitifienne », membre associé du projet de recherche «  Les sources de l’histoire ancienne et médiévale de l’Algérie : répertoire et analyse des sources » et directrice du projet « Catalogue et examen du monnayage d’Iol-Caesarea dans son contexte punique de l’Algérie antique ». Plusieurs participations à des colloques et congrès nationaux et internationaux avec des contributions en majorité dans le domaine numismatique.

Djemaa Maazouzi : PH.D en Littératures de langue française, Djemaa Maazouzi est enseignante et chercheuse au Département de français de Dawson College (Montréal, Canada). Ses intérêts de recherche portent sur : la fabrication de la mémoire et de l’histoire (littérature, cinéma, web) ; le tissage des liens de solidarité entre porteurs de mémoires de traumatisme (guerre, génocide, etc.) dans les arts ; les questions de postcolonialisme et de subalternité des femmes ; les migrations et les déplacements des personnes et des biens. Spécialiste de la littérature française du XXe siècle et de littératures francophones (Maghreb notamment), elle a dirigé et co-dirigé plusieurs numéros de revues (Nouvelle Revue Synergies Canada, n°6, Revue Intermédialités n°21, Revue des Sciences Humaines no320) et publié des textes dans plusieurs ouvrages collectifs ainsi que dans des revues telles Études françaises, Cinéma & Cie, Théorème, Médiation et information (MEI) ou encore La Revue des sciences sociales. Elle est l’auteure de l’ouvrage : Le Partage des mémoires. La guerre d’Algérie en littérature, au cinéma et sur le web, Paris, Classiques Garnier, 2015, 487 p.

Rim Mouloudj : est maître de conférences en littérature et langue française à l’université Lounici Ali (Blida II). Sa recherche doctorale a porté sur les représentations de la violence dans la littérature africaine. Mouloudj Rim a notamment collaboré aux ouvrages collectifs suivants : L’Anthologie Lire L’Afrique, sous la direction de Amina Azza Bekkat (2010) ; le Dictionnaire des écrivains francophones Classiques, sous la direction de Christiane Chaulet Achour (2010) ; Le Dictionnaire des écrivains algériens de langue française, sous la direction de Bekkat Amina Azza Bekkat (2014) et L’ouvrage collectif : Créativité littéraire en Tunisie (2015) sous la direction de Najib Redouane

Latifa Lafer : doctorat, spécialité cinéma, au département sociologie de Paris VIII de 2010 à 2015. Master en spécialité recherche en théorie, esthétique et histoire du cinéma à Paris VIII en 2009. Journaliste dans des rubriques culturelles puis documentaliste à la Cinémathèque entre 1998 et 2004.

عثمان عبد المجيد بلدي: أستاذ بقسم الفلسفة في جامعة الجزائر 2. عضو في فرقة بحث في المدرسة العليا للأساتذة ضمن البرنامج الوطني للبحث. و قبل أن يتوجه الى البحث الجامعي شغل كثيرا في تدريس الفلسفة، 20 سنة في الثانوي و 11 سنة في جامعة التكوين المتواصل. يحضر حاليا شهادة دكتوراه حول مشكلة الأخلاق في فلسفة الحرب في الفكر الغربي.

Chakib Benafri : professeur d’histoire moderne (2006-2012) et chef de Département des langues orientales à l’Université d’Alger 2, AboulkaçemSaadallah depuis 2013 à nos jours. Il participe au projet sur « Société et État au Maghreb Moderne » organisé par le Département des études de la Méditerranée Occidentale à L’université Harvard en 1994. Il intègre en qualité de chercheur le Centre des études sur les Ottomans et les Morisques de CEROMDI, Tunis entre 1994-95. Il rejoint le haut Conseil des recherches scientifique de Madrid, le Département des études islamique entre 1997-99. Il a travaillé para la suite en qualité de professeur d’Histoire à l’Académie de Versailles entre 2000-2006. Le professeur Benafri, continue ses recherches sur les relations internationales dans l’espace Méditerranéen, L’État et la société algérienne à l’époque ottomane, Les minorités dans l’espace méditerranéen, Les relations entre l’Algérie et les pays Scandinaves à l’époque ottomane, Les villes portuaires dans l’Empire Ottoman, La Toponymie et la terminologie dans l’espace ottoman, Les relations hispano-ottomane au 18e siècle, Les Morisques d’Alger, la Course et la Captivité dans la Méditerranée à l’époque Moderne, La cartographie islamique et ottomane, etc….

Mohamed El Korso :

Abderrahmane Moussaoui : professeur en anthropologie à la faculté d’Anthropologie, de Sociologie et de Science Politique – Université Lumière Lyon 2. Chercheur au Groupe de Recherches et d’Etudes sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (GREMMO). Thèmes de recherche : anthropologie du sacré (islam maghrébin, islam des confréries, sainteté, islamisme, rituels festifs et rituels funéraires, pèlerinages), usages et pratiques du religieux aujourd’hui (Corps, espaces et sacré), anthropologie de l’espace (discours et pratiques de l’espace, villes et établissements humains, violences  urbaines, sociabilités en ville), violences et des sorties de violence et l’eau au Sahara.